Mon père, lui aussi boxeur, m'a transmit cette passion très jeune. À l'âge de 5 ans j'ai pu faire mon premier voyage en Thailande, dont je n'ai plus beaucoup de souvenirs aujourd'hui, mais qui a marqué le début d'une longue série de séjours là-bas.

Professionnellement, les métiers de la communication, de la vidéo et plus largement des réseaux m'ont toujours attirés.

J'ai donc travaillé plusieurs années dans ce domaine, mettant la boxe thai de côté.

Féru de travail, j'ai été co-fondateur d'une start-up aujourd’hui partenaire du ministère des jeux olympiques et paralympiques.

Jamais il aurait été possible de faire une telle carrière sans le muay thai. Car dans l'entrepreneuriat, nous sommes sans arrêt confronté à des problèmes, qui s'empiles au fur du temps, formants une charge mentale colossale.

Et c'est l'adversité que j'ai pu rencontrer sur le ring, dès l'âge de 15 ans, qui m'a permis d'avoir la force d'endurer les épreuves professionnelles.